Je ne suis qu'une ombre, un courant d'air, comme un espoir évanoui
Le dernier rayon de soleil que s'apprête à chasser la nuit
Un rêve auquel on ne croit plus, une illusion qui s'évapore
Un peu de temps qui s'est perdu, juste un détail dans le décor
Je suis un souffle qu'on retient, des mots restés au bord des lèvres
Un souvenir qui nous revient, le corps et l'âme brûlants de fièvre
Je suis l'interminable errance, une envie que l'on n'ose pas
Trois points de suspension qui dansent sur un cœur qui ne guérit pas.
Mélina Hoffmann
Avril 2012.
Poème faisant partie des 100 lauréats du Concours de poésie RATP 2012 (sur plus de 4000 participants).
Je suis ce que mon coeur me dit lorsque je pleure
RépondreSupprimerDans cette détresse qui inonde mes nuits de peur
Je ne vis qu'à travers les rêves, sur les lignes du passé
Car rien ne s'achève lorsqu'on est aimé
Je suis là, éphémère de n'être qu'un écrit
Tant d'éloge dans cet écrin de poésie
Que mes larmes tombent sans faire de bruit
Alors je continu à écrire tous ces récits
Même si je ne suis pas poète
Un jour... Je le serai peut être...
J'adore ton blog... je t'ai fais une demande d'ami sur facebook Y. Cullen
Si ça te dit de venir visiter le mien voici le lien :
http://yann-autumn.over-blog.com/
C'est toujours avec un grand bonheur que je te lis merci
RépondreSupprimerAlain
"Tu es" un très joli poème ! bisous
RépondreSupprimerJe me plonge dans votre blog. très joli poeme
RépondreSupprimerMerci à tous ! :-)
RépondreSupprimer