En attendant, je vous souhaite à tous - parents, amis, lecteurs fidèles ou de passage - d'excellentes fêtes de fin d'année, et du bonheur à volonté.
C'est 100% gratuit !
"J'abandonne mon être à mes lettres, car l'écriture sans âme n'est que lettres..."
Voici le classement des 10 prénoms les plus donnés aux nouveau-nés, filles et garçons, ainsi que le nombre d’attribution, et la progression dans le classement par rapport à l’année 2006.
Ce classement national dissimule des différences assez marquées entre les différentes régions.
Ainsi, en Flandre, ce sont Lotte, Emma et Lore qui dominent le hit-parade des filles, tandis que Milan, Wout et Lars sont en tête pour les garçons.
En Wallonie, on retrouve Léa pour la sixième année consécutive, Emma, et Clara.
Du côté des garçons, la préférence va à Nathan, Lucas et Noah.
A Bruxelle, enfin, se sont les Lina, Sarah et Aya qui ont la côte chez les filles, et Mohamed, Adam et Rayan chez les garçons.
L’imagination des parents semble n’avoir aucune limite lorsqu’il s’agit de donner un prénom original à leur progéniture.
Ainsi, l’année 2007 fut un grand cru pour les prénoms coquasses, voir bizarres.
On notera, pour n’en citer que quelques-uns : Arafat, Euro, Joyeux, Trésor, Dieumerci, ou encore Harley-Davidson, Mel-Gibson, et même une petite Belgiana! « Il existe encore des gens attachés à notre pays », ont osé commenter les services de statistiques quant à ce dernier cas !
Certes, l’originalité est là. Mais une originalité qui, parfois, laisse perplexe…
(1) Source : Direction générale Statistique et Information économique - Statistiques démographiques.
Mélina Hoffmann
Créée par Gustave Eiffel pour le centenaire de la révolution française, cette tour de 300 mètres de haut, 7 000 tonnes, et 1 652 marches, domine le paysage parisien.
Bir-Hakeim
Avec ses cinémas, lieux de spectacles, cafés, restaurants, boutiques de luxe, mais aussi ses espaces verts, elle s’étend sur 1 950 mètres, de la Place de la Concorde à la Place de l’Etoile.
Situé tout en haut des Champs Elysées, il offre une vue plongeante sur l’avenue du haut de ses 50 mètres.
Charles de Gaulle Etoile
Principale œuvre de l’ar
chitecture gothique, elle n’a cessé d’inspirer poètes, peintres et musiciens, de François Villon à Victor Hugo, jusqu’à la comédie musicale à succès, Notre-Dame de Paris, en 1998.
Cité ou Châtelet
Construit en
1860, il est considéré comme l’un des chefs d’œuvre de l’architecture de l’époque.
Opéra
Située au sommet de la butte Montmartre, la vue panoramique depuis le parvis du Sacré-Cœur domine tout Paris. Le site, propice à la méditation, offre également un jardin orné d’une fontaine.
Montmartre
Le musée rassemble des œuvres des civilisations antiques jusqu’à 1848, dont 6 000 peintures européennes réalisées entre la fin du XIIIe siècle et le milieu du XIXe siècle.
Palais Royal – Musée du Louvre
Mélina Hoffmann
Si vous pensez que d'autres étapes ou formalités sont nécessaires, n'hésitez pas à nous en faire part.
Mélina Hoffmann
Qu’ils soient chiens ou chats, à poils, à plumes ou à écailles, nos animaux de compagnie tiennent une place de plus en plus importante dans nos vies. Ils sont nos compagnons, nos confidents, nos amis. Puis un jour, ils s’en vont et laissent un vide immense…Comment surmonter cette épreuve douloureuse? Quelles dispositions prendre après le décès?
Pour beaucoup d’entre nous, notre animal est un membre à part entière de la famille. Un membre qui nous est fidèle, qui nous fait don de son affection et qui comble avec brio notre solitude.
Alors, lorsque ce compagnon qui a partagé jusqu’à 20 ans de notre vie nous quitte, c’est un véritable déchirement. Une période douloureuse commence, celle du deuil avec son lot d’émotions pénibles.
Sans parler de l’incompréhension de l’entourage à laquelle il faut parfois faire face : Remets-toi, ce n’était qu’un chien ! répliqueront certains, Tu n’auras qu’à en acheter un autre répondront d’autres ridiculisant ainsi votre peine. Ces paroles sont généralement celles de personnes n’ayant jamais eu d’animaux, ne connaissant pas ce lien extraordinaire qui se tisse entre un maître et son compagnon.
Il est important de prendre le temps de faire le deuil de son animal, même si cela implique de se laisser traverser par des sentiments difficiles.
Le deuil est un processus long qui se compose de plusieurs étapes apportant chacune son lot d’émotions :
Plusieurs dispositions peuvent être prises après le décès de l’animal. Si vous ne vous sentez pas la force de prendre en charge le corps de votre compagnon, vous pouvez le laisser chez le vétérinaire qui s’en occupera. Néanmoins, certains maîtres ressentent le besoin de rendre hommage à leur animal et de procéder à un cérémonial pour pouvoir faire leur deuil.
Plusieurs possibilités sont alors envisageables:
Pour ce qui concerne les règlementations relatives à une inhumation, le ministre wallon de l'Agriculture répondant à une question parlementaire en 2005 rappelait que, la réglementation wallonne, en conformité avec le droit européen, permet au détenteur d'un animal de compagnie décédé de l'enfouir directement dans un lieu dont il a la jouissance. Il s'agit toutefois d'une faculté et les autorités communales disposent du droit d'en interdire la pratique sur leur territoire. Le même ministre signalait la présence de 5 cimetières animaliers en Belgique, dont 4 en Wallonie: Liège, Rosières, Gand, Harzé et Charleroi.
Après les Etats-Unis,
J’ai rendez-vous là-bas avec l’été, un concept un peu démodé qui était autrefois une saison chez nous, mais
qui semble avoir plié bagage depuis quelques années !!
Le rendez-vous est réussi !
Le thermomètre grimpe à mesure que la frontière approche, les vacances s’annoncent belles et chaudes !
Au programme : voyage itinérant sur la côte Est. Rien n’est défini, j’avance au gré de mes envies et des campings.
Première étape : Valence, ou plutôt Sagunto, une petite ville balnéaire non loin de là.
Pas de temps à perdre, j’adopte tout de suite le rythme espagnol ! Déjeuner à 15h, dîner à 21h30 ! On s’y fait très vite !
Valence ne retiendra pas mon attention, je préfère commencer par quelques jours de repos au bord de la grande bleue qui, pour l’occasion, a emprunté les vagues de l’Atlantique !
La chaleur y est trop étouffante, je ne m’y attarderai donc pas. Deux jours plus tard, je reprends la route. Mais pas n’importe quelle route : celle qui longe la mer.
Je joue le rôle de co-pilote,
mes guides touristiques dans une main, mon appareil-photo dans l’autre ! Rien ne m’échappe !
C’est l’occasion de visiter quelques charmantes villes balnéaires comme Benicarló, Tarragone, et Sitges où je décide d’y planter ma tente quelques jours. Et à priori je ne suis pas la seule ! On se croirait en plein mois d’août ! Le cadre est plaisant, l’ambiance est à la fête.
Mais je suis trop impatiente pour y rester plus de trois jours. Impatiente de découvrir Barcelone, but ultime de mon périple. Je sens d’emblée que cette ville va me plaire, le courant passe entre elle et moi ! Mon petit guide sur Barcelone en poche, je m’aventure dans le dédale de ses rues étroites, je me fonds au milieu de la foule grouillante, je pars à la découverte de ses quartiers si typiques et différents les uns des autres.
Je suis émerveillée par Monjuïc, son jardin, ses châteaux et ses panoramas ; séduite par
Barcelone recèle de nombreuses curiosités, dont une attirant particulièrement mon attention : la casà Battlò. Une maison qui semble sortie tout droit d’un Walt Disney avec ses formes arrondies et excentriques ! C’est sans surprise que l’on apprend qu’elle a été entièrement rénovée par Gaudí, concepteur de la célèbre Sagrada Família devant laquelle je ne m’attarderai pas. Avec tous les échafaudages et les grues qui l’encadrent afin que soit achevée sa construction, les photos de mes guides de voyage feront l’affaire !
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. J’épluche un à un mes différents guides : je veux être sûre de ne rien rater ! Juste le temps de déguster un délicieux jus de fruits au marché de
Barcelone m’a séduite et je pense déjà y revenir, un peu plus longtemps et pourquoi pas entre amis. Car Barcelone est la ville de la fête, idéale pour des soirées interminables passées à refaire le monde autour d’une bière et de quelques tapas !
Pour rejoindre
Le soleil se couche sur l’Espagne, maintenant derrière moi.
Buenas noches…
La perfection n’est pas de ce monde, l’adage est bien connu mais il n’est pourtant plus dans l’air du temps…
Dans une société où la performance s’est imposée comme une valeur positive, favorisant les comportements extrêmes, le perfectionnisme a cessé d’être une simple et saine quête de mieux, moteur de motivation.
Il s’agit désormais d’être le meilleur, d’approcher si ce n’est d’atteindre la perfection, parfois à n’importe quel prix. Aucun domaine n’est épargné par cette recherche effrénée de l’excellence qui flirte très souvent avec l’obsession, que ce soit dans l’apparence avec la chirurgie esthétique, dans le sport avec la prise de produits dopants, dans le travail avec le surmenage, et même dans la vie sexuelle où l’orgasme est devenu le but ultime à atteindre…
Sans même s’en rendre compte, le perfectionniste devient rapidement prisonnier des attentes et des exigences des autres et/ou de lui-même et tire généralement peu de plaisir et de satisfaction de ce qu’il accomplit, qu’il considère toujours comme étant insuffisant. Il est vrai qu’il est difficile de s’épanouir pleinement en acceptant d’être "juste" soi-même, dans une société qui nous met, à notre insu, dans une situation de compétition quasi-permanente…
Même s’il n’est pas reconnu officiellement comme un trouble psychiatrique, les dangers du perfectionnisme poussé à l’extrême sont nombreux en raison du stress permanent dans lequel se trouvent les perfectionnistes. Des chercheurs canadiens en psychologie ont observé que les perfectionnistes sont très fréquemment sujets à des problèmes émotionnels, physiques et relationnels tels que la dépression, les conflits conjugaux, les troubles du comportement alimentaire…
Le perfectionnisme peut se présenter sous des formes différentes.
Il peut s’agir de perfectionnisme par rapport à soi. Dans ce cas, l’individu ne parvient à avoir une bonne estime de lui-même que lorsque ses performances sont à la hauteur des objectifs qu’il s’est fixés, et qu’il définit comme parfaits. Le moindre échec ou résultat "insatisfaisant" entraîne alors un sentiment profond de dévalorisation.
Ce type de perfectionnisme peut être favorisé par une pression de réussite de la part de l’entourage, lorsqu’on grandit dans un milieu intellectuellement brillant. L’enfant intègre l’information erronée selon laquelle l’amour qu’on lui porte se mérite et ne dépend que de sa réussite. Une conviction qui reste intacte à l’âge adulte.
La réussite n’est alors plus un désir, une ambition, mais une nécessité et le mode de pensée "tout ou rien" s’installe rapidement. Pour ces perfectionnistes là, il n’existe que 2 possibilités : la réussite, ou l’échec. "assez bien" ou le "moyen" n’existent pas.
Il peut aussi s’agir de perfectionnisme par rapport aux autres. Dans ce cas, l’individu étend sa quête permanente de perfection à son entourage. Conjoint, enfants, collègues de travail, amis… pour lui : tout le monde doit être parfait, selon ses propres critères de perfection bien entendu ! D’où une insatisfaction et une déception permanentes.
Enfin, le perfectionnisme prescrit socialement consiste à croire que les autres attendent la perfection de soi. Ce type de perfectionniste est persuadé que les autres ont une haute exigence de lui et que ce n’est qu’en se montrant irréprochable qu’il pourra obtenir ou conserver leur sympathie, leur intérêt, leur affection. Cette conviction répond à un besoin permanent et excessif de reconnaissance et d’estime des autres. Le perfectionniste prescrit socialement remet son bonheur et son bien-être entre les mains d’autrui dont il est dépendant.
Voici un petit test tiré du site Internet Psychomédia. Si plusieurs des informations suivantes évoquent des situations qui vous sont familières, un perfectionnisme qui pourrait devenir toxique vous guette…
1. Vous ne pouvez arrêter de penser à une erreur que vous avez faite.
2. Vous êtes très compétitif et ne pouvez tolérer de faire moins bien que d’autres.
3. Vous voulez faire les choses très bien ou pas du tout.
4. Vous demandez la perfection aux autres.
5. Vous ne demandez pas d’aide si cette demande peut être perçue comme une lacune ou une faiblesse.
6. Vous persistez à une tâche longtemps après que les autres l’aient quitté.
7. Vous vous faites un devoir de corriger les gens quand ils se trompent.
8. Vous êtes grandement conscient des demandes et des attentes des autres.
9. Vous êtes très soucieux de ne pas faire de fautes devant des gens.
10. Vous remarquez les erreurs partout.
Mélina Hoffmann
Les plantes anti-pollution sont un moyen rapide et durable d’assainir l’air et de lutter contre le Sick Bilding Syndrome, le syndrome des bâtiments malsains, tout en agrémentant notre cadre de vie.
L’air intérieur de nos maisons, appartements et bureaux est 10 à 100 fois plus pollué que l’air extérieur. Sur les 20 m³ d’air que nous respirons en moyenne chaque jour, 16 m³ proviennent de l’intérieur d’espaces clos dans lesquels nous passons entre 80 et 90% de notre temps.
Aérer chaque jour est indispensable, mais pas suffisant.
Isolants, mobilier, revêtements de sols, papiers peints, peintures, ventilation, produits ménagers, chauffages, appareils électriques, tabac, encens,… : les sources de pollution domestique sont nombreuses, et bien souvent elles s’additionnent, ce qui augmente considérablement la toxicité de l’air dans lequel nous vivons.
Une pollution invisible mais néanmoins dangereuse qui peut provoquer des réactions allergiques, des troubles respiratoires, et, dans les cas les plus graves, des cancers. L’une des substances chimiques les plus présentes dans l’air intérieur, le formaldéhyde, a d’ailleurs été classé cancérogène par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) en juin 2004.
Pour lutter contre cette forme diffuse de pollution, une solution efficace et peu coûteuse existe : les plantes dépolluantes. En effet, des expériences réalisées par la Nasa dans les années 80 ont révélé les propriétés épuratrices d’un certain nombre de plantes d’intérieur telles que les philodendrons, dracaena, palmiers, et autres ficus,…
C’est par un ensemble de mécanismes naturels que les plantes, qui se nourrissent du milieu qui les entoure, exercent leur activité dépolluante. Leurs feuilles et leurs tiges absorbent les polluants de l’air que leurs racines transforment ensuite en produits organiques desquels elles vont se nourrir. En transpirant, les plantes améliorent également le taux d’humidité dans la maison.
Les scientifiques estiment que pour une efficacité maximum dans un environnement fermé, une plante doit être disposée tous les 9m² dans toutes les pièces de la maison, y compris la chambre. En effet, malgré une idée reçue, la quantité de monoxyde de carbone (CO) rejetée par les plantes durant la nuit est minime en comparaison de la quantité d’oxygène qu’elles rejettent dans la journée et ne constitue donc pas un danger.
Les plantes dépolluantes sont nombreuses, de tailles variées et se prêtent plus ou moins bien à une forte exposition lumineuse ou à un environnement sombre. Chaque plante est plus ou moins réceptive à chaque type de polluants. Certaines peuvent également se révéler toxiques et doivent donc être évitées en présence de jeunes enfants et d’animaux domestiques.
C’est en fonction de ces éléments que vous pourrez choisir les plantes qui vous conviennent, et les disposer de façon à ce que leur efficacité soit optimale.
Voici une petite sélection des plantes les plus efficaces.