
Vous pourrez notamment y découvrir deux de mes chroniques littéraires.
N'hésitez pas à le feuilleter, à le lire, à vous y abonner, et à laisser vos commentaires ! Et on se retrouve en avril pour le prochain numéro!
"J'abandonne mon être à mes lettres, car l'écriture sans âme n'est que lettres..."
Depuis quelques années, les blogs sont à la mode. Une manière pratique et conviviale de partager toutes sortes de choses avec des personnes choisies, ou avec tous les internautes.
Le mariage n’a pas échappé à cette nouvelle mode, et les couples ont de plus en plus fréquemment recours aux blogs pour consacrer à leur mariage un espace virtuel interactif et personnalisé, accessible à tous les invités, qui pourront alors suivre pas à pas les préparatifs du jour J.
…et gratuitement, vous pourrez faire circuler toutes les informations pratiques relatives à votre mariage et éviter ainsi la voie postale ou téléphonique. Un gain de temps considérable lorsqu’on a une centaine d’invités à contacter!
Il suffit pour cela de vous inscrire, de choisir l’adresse de votre site, le design qui vous plaît, et de sélectionner les rubriques que vous souhaitez intégrer à votre blog. Il ne vous restera alors qu’à y ajouter toutes les informations et photos que vous souhaitez partager, et à informer vos proches et amis de l’existence de ce blog. Ce blog peut être public (ouvert à tous) ou privé (sécurisé).
Vous n’oublierez pas de l’actualiser régulièrement et d’y indiquer les éventuels changements de dernière minute.
Voici ce que pourrait contenir votre blog, à vous ensuite de laisser parler votre créativité et de le personnaliser:
Pour chaque "article" publié, vous pouvez permettre des "commentaires" qui devront être "modérés". Ces commentaires peuvent vous permettre d'améliorer l'information, apporter des précisions.
Vous pourrez remercier vos invités de leur présence et de leurs attentions et peut-être publier une photo de votre voyage de noces (un blog peut se gérer de n'importe quel endroit connecté à l'Internet).
Certains blogs permettent de publier des galeries de photos. Vous pourrez en profiter pour fournir ainsi quelques extraits de vos albums (n'oubliez cependant pas que chacun a un "droit à l'image" et peut donc refuser de voir sa photo publiée).
Phénomène déjà courant aux Etats-Unis et dans certains pays d’Europe, les nouveaux animaux de compagnie rencontrent maintenant un succès croissant en France par exemple.
Si le chien et le chat ont toujours une place privilégiée dans nos foyers, il faut désormais compter avec les furets, iguanes, mygales, pythons, et autres scorpions qui constituent près de 5% des animaux de compagnie.
Besoin d’évasion, curiosité, envie de se distinguer des autres… les motivations sont nombreuses pour les détenteurs de ces espèces.
Avec l’arrivée de ces nouveaux compagnons, de nouveaux risques pour la santé apparaissent.
Le nombre de zoonoses (maladies de l’animal transmissibles à l’homme) est en constante augmentation. Parmi les quelques-unes déjà signalées on notera la peste, la tuberculose, ou encore la salmonelle.
Les primates sont les principaux incriminés, tandis que les reptiles et autres mygales sont responsables d’une augmentation du nombre d’envenimations.
Car, rappelons-le, nombre de ces nouveaux animaux de compagnie sont dangereux et ne doivent pas être mis entre toutes les mains, au risque de se retrouver relâché en pleine nature, avec les conséquences que l’on peut imaginer.
Mais au-delà des risques sur la santé, ce phénomène alimente le trafic mondial et pose un véritable problème écologique puisqu’il encourage le braconnage et la persécution de certaines espèces. L’enjeu? Un chiffre d’affaire estimé à environ 15 milliards d’euros par an…
Selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, ce sont pas moins de 30.000 primates, 500.000 perroquets, 500.000 poissons d’aquarium et de nombreux reptiles et mammifère qui sont, chaque année, arrachés à leur milieu naturel pour alimenter le marché mondial des nouveaux animaux de compagnie. Selon la même source, moins de 20% de ces animaux atteignent l’âge de 2 ans.
On n’acquiert pas un NAC sur un coup de tête. Il faut avant tout bien connaître l’espèce que l’on souhaite acquérir, se renseigner auprès de spécialistes sur ses besoins et son mode de vie, ses exigences alimentaires, et prendre toutes les précautions nécessaires pour sa propre sécurité, ainsi que pour le bien-être de l’animal. Car il n’est pas rare que ces nouveaux animaux de compagnie soient victimes de maladies n’existant pas dans la nature, provoquées par de mauvaises conditions de captivité.
Comme pour tout autre animal, adopter un NAC c’est avant tout s’assurer d’avoir les moyens, le temps, la place, et les compétences nécessaires pour lui assurer de bonnes conditions de vie.
En Belgique, de nombreux particuliers possèdent illégalement un ou plusieurs spécimens de ces NAC.
Si la commercialisation des animaux dépend de l’autorité fédérale, ce sont les Régions qui gèrent la détention. Ainsi, en Wallonie, la détention d’un permis est obligatoire dès le 1er animal, tandis qu’en Flandre, le permis est obligatoire à partir de 30 spécimens.
A Bruxelles, en revanche, les NAC sont complètement interdits.
Toutefois, il semblerait qu’un grand nombre de propriétaires passent outre ces règlementations.
Voici quelques idées fausses qui vous permettront de mieux comprendre votre petit compagnon.
Le chat a besoin de deux repas par jour…
FAUX. Attention à ne pas confondre besoins canins et besoins félins. Ce qui est bon pour l’un, ne l’est pas forcément pour l’autre! En effet, contrairement au chien, le chat doit pouvoir grignoter à tout moment de la journée et non se voir imposé des repas à heures fixes, ce qui pourrait provoquer des troubles du comportement.
Il vaut mieux privilégier les petits plats maison…
FAUX. Concocter de petits plats maison pour votre chat, c’est risquer de commettre des erreurs alimentaires qui pourraient nuire à sa santé. Sachez que les préparations industrielles sont ce qu’il y a de plus équilibré pour nos félins.
Un petit carré de chocolat ne peut pas lui faire de mal…
FAUX. S’il est bien une erreur à ne pas commettre, c’est de donner du chocolat à votre animal, chien ou chat d’ailleurs. Gardez à l’esprit que le chocolat, et plus précisément le cacao, est un véritable poison pour nos compagnons à quatre pattes. Quelques carrés de chocolat peuvent suffire pour entraîner, au mieux des troubles digestifs, au pire des troubles cardiaques pouvant entraîner la mort de votre animal.
La stérilisation entraîne l’obésité…
FAUX. Si la stérilisation peut effectivement favoriser la prise de poids du fait d’une diminution des dépenses physiques et de l’altération de la satiété, elle n’est pas pour autant synonyme d’obésité. Il est important de surveiller le comportement alimentaire de votre chat et, si besoin, de ne diminuer les rations après l’opération, en veillant à choisir des aliments "light" ou "pour chats stérilisés".
La chatte doit avoir au moins une portée avant d’être stérilisée…
FAUX. Penser qu’une chatte a besoin d’assouvir son instinct maternel et qu’il ne faut pas la priver de ce ”bonheur”, est un raisonnement complètement anthropomorphique et erroné! Mieux vaut donc faire stériliser votre chatte après ses premières chaleurs, afin d’éviter le développement de problèmes de santé.
Il est inutile de vacciner un chat qui ne sort pas…
FAUX. Le risque zéro n’existe pas plus en appartement qu’à l’extérieur! Le chat peut être porteur, dès son plus jeune âge, de bactéries qui vont ensuite librement se multiplier s’il n’est pas vacciné. Certains virus résistants peuvent également être rapportés à l’intérieur de la maison par l’intermédiaire des mains ou des semelles de chaussure. Sans parler des contacts possibles de votre chat avec d’autres animaux.
Le chat n’aime pas l’eau…
FAUX. Si se baigner n’est pas un comportement naturel chez un chat, cela ne signifie pas qu’il n’aime pas l’eau ou qu’il en ait peur! Au contraire, les chats ont tendance à être attirés par l’eau et par ce qu’elle peut contenir du fait de leur instinct de pêcheur. Ne soyez donc pas surpris si votre chat se poste sur le rebord de la baignoire ou plonge sa patte dans l’eau!
On ne doit pas couper les griffes d’un chat…
FAUX. Ce geste est indispensable chez les chats d’intérieur. Il convient de le faire toutes les 3 semaines à 1 mois, car les griffes des chats, contrairement à celles des chiens, ne s’usent pas au contact du sol. Seules les griffes des pattes avant sont à couper.
Un chat qui ronronne est un chat heureux…
FAUX. Un chat peut aussi ronronner… de douleur! Le ronronnement est, en fait, dû à une émotion intense, qu’elle soit agréable ou douloureuse. Il permet de soulager et de rassurer le chat.
Le chat est malheureux en appartement…
FAUX. Le plus important pour un chat est de disposer d’un territoire qui soit le sien, et d’y trouver ses marques. Il est néanmoins nécessaire d’aménager l’intérieur de façon à ce que le chat puisse être stimulé physiquement et mentalement, et disposer d’un certain confort. Toutefois, il sera difficile pour un chat habitué à vivre à l’extérieur, de se retrouver enfermé dans un espace clos.